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Trafollée, croutée, métamorphosée, transfo, béton, E/4.3…… quel vocabulaire pour décrire la neige et les descentes ! J’étais habituée au monde de la grimpe mais celui de la neige me reste encore fermé … Pour moi, néophyte, la neige c’est la neige ! Mais en allant skier avec Thomas, Aurélien, Fred et Guillaume et surtout en lisant leurs comptes rendus, je me rendue compte que c’est bien un élément aussi « vivant » que le rocher. Skier la neige n’est pas tout ! Je découvre aussi le plaisir de la rando. Les longues montées dans des milieux toujours changeant : les bois, les prés, les couloirs verglacés… pour se retrouver au sommet et casser un morceau (quand mon paquet de biscuits ne se fait pas la malle avant de l’avoir ouvert…) Après il reste les descentes où il faut négocier les rochers, la glace, l’étroitesse du couloir, la végétation parfois dense, … bref à chaque fois un défi. Ce défi, je l’adore au point de ne plus vraiment apprécier le ski de piste que je trouve sans imprévu.
[/lang_fr]Trafollée, croutée, métamorphosée, transfo, béton, E/4.3…… quel vocabulaire pour décrire la neige et les descentes ! J’étais habituée au monde de la grimpe mais celui de la neige me reste encore fermé … Pour moi, néophyte, la neige c’est la neige ! Mais en allant skier avec Thomas, Aurélien, Fred et Guillaume et surtout en lisant leurs comptes rendus, je me rendue compte que c’est bien un élément aussi « vivant » que le rocher. Skier la neige n’est pas tout ! Je découvre aussi le plaisir de la rando. Les longues montées dans des milieux toujours changeant : les bois, les prés, les couloirs verglacés… pour se retrouver au sommet et casser un morceau (quand mon paquet de biscuits ne se fait pas la malle avant de l’avoir ouvert…) Après il reste les descentes où il faut négocier les rochers, la glace, l’étroitesse du couloir, la végétation parfois dense, … bref à chaque fois un défi. Ce défi, je l’adore au point de ne plus vraiment apprécier le ski de piste que je trouve sans imprévu.
