J’ai craqué pour l’indian style

[lang_fr]Ca y est, je me suis décidée à partir, je me suis jetée sur l’occasion sans trop d’hésitation ! Ce n’est pas tous les jours qu’on va en Inde…Apres 2 semaines de ski, de montagne et de grimpe à fond la caisse, je reviens le vendredi soir, je fais mon sac vite fait. Et le lendemain debout à 4h du mat. J’espère que je n’ai rien oublié. Le principal y est : chausson et baudard ! C’est parti, attention l’Inde j’aarrriiiivvvveeee… lol

[/lang_fr]Ca y est, je me suis décidée à partir, je me suis jetée sur l’occasion sans trop d’hésitation ! Ce n’est pas tous les jours qu’on va en Inde…Apres 2 semaines de ski, de montagne et de grimpe à fond la caisse, je reviens le vendredi soir, je fais mon sac vite fait. Et le lendemain debout à 4h du mat. J’espère que je n’ai rien oublié. Le principal y est : chausson et baudard ! C’est parti, attention l’Inde j’aarrriiiivvvveeee… lol

[lang_fr]

Le lendemain, sans avoir rien préparé et grâce à la proposition d’Alex, je me retrouve ici au milieu de nulle part…

Heureusement, Gaurang (un grimpeur local) vient me chercher à l’aéroport de Bombay à 23h30. Hop, on prend un taxi, et c’est parti pour le voyage. J’arrive chez lui, dans la maison de ses parents où ils y vivent à 4 dans une pièce aussi petite que mon appart à Grenoble ! Chut pas de bruit, ils sont tous en train de dormir par terre dans le salon. Il me laisse dormir sur le seul lit de la maison ! Le lendemain, sa maman me prépare un super dîner avec le thé indien. En attendant le bus du soir pour aller rejoindre les autres français à Badami, Gaurang me propose d’aller passer l’aprèm à Belapure un site de bloc à 1h de voiture de Bombay. On passe une superbe aprèm ensemble, on grimpe, on discute de tout et n’importe quoi avec mon « petit anglais ». Mais bon ça va je le comprends bien et j’arrive à me faire comprendre, c’est le principal…

Il est 22h, j’attends le bus. Gaurang est super inquiet parce qu’il s’est trompé de réservation de bus. Il a réservé un bus local qui s’arrête presque tout le temps au lieu d’un direct avec la clim. Je lui dis que ce n’est pas grave mais apparemment il y attache plus d’importance… Qu’est-ce qu’ils sont sympas et intentionnés les Indiens !

Bref, je passe une nuit pas terrible dans le bus, j’arrive vers 10h du mat. Et là, Alex et Jean Luc (un français qui habite en Inde) sont là pour m’accueillir. Un peu plus tard ; j’arrive enfin à destination : Badami.

Je découvre l’ambiance des rues indiennes : tout premièrement le bruit. Les klaxons sont omniprésents. Ca fait partie du bruit des moteurs, le klaxon toutes les 5-10 secondes ! Ensuite les voitures qui roulent à la one again et tu ne sais même plus si elles roulent à gauche ou à droite. Il y a bien sûr les piétons qui essaient de rester en vie, mais aussi les sangliers qui courent dans les crasses, les vaches avec une drôle de bosse qui bouffent tout ce qu’elles trouvent y compris le carton, et ensuite les singes qui s’amusent à jouer au funambule sur les fils électriques…et nous les grimpeurs avec nos pads !

On monte au site de grimpe tout en faisant attention aux « méga épines » qui te traversent la chaussure en un rien de temps !Et ça fait bien mal…Là, je fais la rencontre des autres français. Sam Bié, le photographe, Jacques Perrier plus connu sur le nom de Pchitt, Meili et Guillaume. Je découvre un des sites de Badami : Ganesh, site qui se trouve juste au dessus de l’hôtel à 5-10 min. Un joli spot avec des falaises de grès entourées de blocs. C’est le calme absolu comme dans le désert. Si tu montes sur le haut des falaises, t’as l’impression d’être sur la Lune…

Le lendemain cap sur un autre site Badami de luxe. C’est un peu plus loin que Ganesh,à 5 minutes en rickshaw. C’est dans une grande faille entre deux falaises. Jean- Luc me montre les quelques voies qu’ils ont équipées…Bien jolies ! J’essaie aussi une des voies d’Alex « Massala » un 8b+ majeur. Pchitt et moi avons tenté pas mal d’essai mais elle n’a pas voulu de nous…Ce sera pour l’année prochaine ! Ce qui est marrant dans ce secteur c’est qu’on se trouve juste au dessus d’un petit village de cabanes faites en bois et en pailles. Souvent tu peux apercevoir un habitant du village assis avec son petit pot d’eau en train de faire son besoin, te regardant tranquillement en train de grimper. Avec les singes tout autour de toi quand tu assures. C’est assez dépaysant !

Cap sur le troisième secteur « Temple ». Superbe falaise de 30m où Jean Luc, Pchitt et Alex ont ouvert des voies. Voies démentes où tu grimpes de strates en strates.

Après quelques jours bien « class » passés à Badami, let’s go to Hampi !

Une des choses que je découvre aussi, c’est qu’avec les Indiens, il faut s’attendre à tout ! Petite anecdote : Pour aller à Hampi de Badami, nous décidons de réserver un taxi plutôt que de prendre un bus pour gagner du temps et avoir plus de confort. Jean Luc répète plusieurs fois (en « india ») au chauffeur qu’on veut se rendre Island Hampi et pas à Hampi. Pour aller à l’ile où il y a le spot de bloc, il faut où bien prendre un bateau à Hampi (ce qui n’était pas possible puisqu’on arrivait tard le soir) ou arriver par un autre coté et ne pas passer à Hospet (ce qui est le cas pour Hampi). Plusieurs fois pendant le trajet nous le leur réexpliquons en anglais. La route étant longue, nous essayons de dormir un peu dans la voiture. Ca y est, on y est, mais pas à la bonne destination malheureusement…Nous sommes à Hampi et il n’y a plus de bateau à cette heure pour passer de l’autre coté ! Du coup nous devons faire un grand détour en voiture…Encore 1h30 de plus. Pour finir, on a mis le même temps que le bus!

Bref nous voilà arrivé à la « guest house » : « the Goan corner ». Là plus de bungalows. La gérante pensait qu’on ne viendrait pas vu notre retard. Du coup, sympathique nuit sous les moustiquaires sur le toit. Le lendemain, réveil avec une vue sur l’immense chaos de blocs. Des milliers de blocs à perte de vue ! Plus impressionnant que sur les photos…Ici à Hampi, l’ambiance est plus pareille du tout ! On n’est plus en Inde mais dans un endroit international pour les grimpeurs du monde entier.

Tous les matins, nous nous levons tôt pour pouvoir profiter des moments les plus frais. La journée, en plein soleil, il fait vraiment chaud ! Le rocher est très très « charp », tu fais un 1er essai et ça suffit pour niquer toute ta peau pour la journée ! Ensuite, il faut que tu laisses reposer ta peau pendant 1h…J’exagère mais ce n’est pas loin de la réalité. Mais à part ça, c’est un cadre vraiment magnifique ! Les blocs sont en général vraiment class, beaucoup de réglettes, quelques plats, pas mal d’arêtes aussi !

On a encore vu comme presque chaque jour, le vendeur de cake qui connaît Hampi comme sa poche. Chaque jour, on est dans un endroit différent, et il est là avec son panier…Comme si , le 1er jour où on lui a acheté un cake, il nous avait mis un détecteur pour nous retrouver ! Un jour on avait même loué des mobylettes pour aller faire un tour au lac à 4-5 kilomètres de la « Guest house » et il était là ! Sans blague ! .

On profite des moments des plus chauds de la journée pour revenir déjeuner, jouer aux échecs, discuter avec les grimpeurs de différentes nationalités, faire de la slake line ou encore glander dans les hamacs. En tout cas, entre la grimpe, le shopping, manger une glace, boire un lassi ou un milkshake à Hampi, le temps passe vraiment vite ici ! Un jour, alors que nous étions tranquillement à table, on entend du bruit et de l’animation plus loin dans la rue. On s’approche, et apparemment il y a un serpent caché sous des pierres à coté d’une baraque. Le chasseur de serpent était là avec son bâton et réalisait toute une « tactique » pour le fatiguer et l’assommer. Après plusieurs minutes, le serpent sort enfin de sa cachette, il le tabasse à coup de bâton, c’est un cobra ! Quelle expérience !..

La fin approche, nous prenons un bus de nuit pour aller à Bombay et passer la dernière journée à Belapour en compagnie des grimpeurs locaux de Bombay. On est 4 à repartir le même jour : Sam, Alex, Pchitt et moi. Sam en profite pour aller une dernière fois chez le barbier. Je l’accompagne, n’ayant jamais vu à quoi ça ressemblait. Il lui coupe un peu les tifs ensuite, la barbe avec en prime massage du visage et de la tête avec crème huile et tout le tralala! C’était nickel, il était comme flambant neuf… Prêt pour prendre l’avion et retrouver sa famille. On en profite aussi pour faire quelques derniers achats, un dernier resto avec tous les grimpeurs locaux et ça y est c’est l’heure de partir. Hop on monte tous dans un taxi ! Je m’endors crevée dans la voiture et tout d’un coup, je me réveille, on s’arrête sur le bord de la route. Ca y est on est déjà arrivé à l’aéroport ? Et bien non, nous avons un pneu crevé. Heureusement, on s’est arrêté au bon endroit ! Il se fait qu’on se trouve juste au niveau d’une petite cabane avec des pneus partout : un vendeur et réparateur de pneu. La chance !

Avec le peu de matériel qu’il avait, le jeune indien enlève le pneu, le répare et le remet en un rien de temps, impressionnant ! On arrive à peine à l’aéroport et c’est déjà le temps des adieux car quelques locaux nous avaient accompagnés. C’est triste, je me plaisais bien moi là-bas ! Pas grave à l’année prochaine sûrement !! Aatteeennddeeezzz moiiii…

Chloé[/lang_fr]

Le lendemain, sans avoir rien préparé et grâce à la proposition d’Alex, je me retrouve ici au milieu de nulle part…

Heureusement, Gaurang (un grimpeur local) vient me chercher à l’aéroport de Bombay à 23h30. Hop, on prend un taxi, et c’est parti pour le voyage. J’arrive chez lui, dans la maison de ses parents où ils y vivent à 4 dans une pièce aussi petite que mon appart à Grenoble ! Chut pas de bruit, ils sont tous en train de dormir par terre dans le salon. Il me laisse dormir sur le seul lit de la maison ! Le lendemain, sa maman me prépare un super dîner avec le thé indien. En attendant le bus du soir pour aller rejoindre les autres français à Badami, Gaurang me propose d’aller passer l’aprèm à Belapure un site de bloc à 1h de voiture de Bombay. On passe une superbe aprèm ensemble, on grimpe, on discute de tout et n’importe quoi avec mon « petit anglais ». Mais bon ça va je le comprends bien et j’arrive à me faire comprendre, c’est le principal…

Il est 22h, j’attends le bus. Gaurang est super inquiet parce qu’il s’est trompé de réservation de bus. Il a réservé un bus local qui s’arrête presque tout le temps au lieu d’un direct avec la clim. Je lui dis que ce n’est pas grave mais apparemment il y attache plus d’importance… Qu’est-ce qu’ils sont sympas et intentionnés les Indiens !

Bref, je passe une nuit pas terrible dans le bus, j’arrive vers 10h du mat. Et là, Alex et Jean Luc (un français qui habite en Inde) sont là pour m’accueillir. Un peu plus tard ; j’arrive enfin à destination : Badami.

Je découvre l’ambiance des rues indiennes : tout premièrement le bruit. Les klaxons sont omniprésents. Ca fait partie du bruit des moteurs, le klaxon toutes les 5-10 secondes ! Ensuite les voitures qui roulent à la one again et tu ne sais même plus si elles roulent à gauche ou à droite. Il y a bien sûr les piétons qui essaient de rester en vie, mais aussi les sangliers qui courent dans les crasses, les vaches avec une drôle de bosse qui bouffent tout ce qu’elles trouvent y compris le carton, et ensuite les singes qui s’amusent à jouer au funambule sur les fils électriques…et nous les grimpeurs avec nos pads !

On monte au site de grimpe tout en faisant attention aux « méga épines » qui te traversent la chaussure en un rien de temps !Et ça fait bien mal…Là, je fais la rencontre des autres français. Sam Bié, le photographe, Jacques Perrier plus connu sur le nom de Pchitt, Meili et Guillaume. Je découvre un des sites de Badami : Ganesh, site qui se trouve juste au dessus de l’hôtel à 5-10 min. Un joli spot avec des falaises de grès entourées de blocs. C’est le calme absolu comme dans le désert. Si tu montes sur le haut des falaises, t’as l’impression d’être sur la Lune…

Le lendemain cap sur un autre site Badami de luxe. C’est un peu plus loin que Ganesh,à 5 minutes en rickshaw. C’est dans une grande faille entre deux falaises. Jean- Luc me montre les quelques voies qu’ils ont équipées…Bien jolies ! J’essaie aussi une des voies d’Alex « Massala » un 8b+ majeur. Pchitt et moi avons tenté pas mal d’essai mais elle n’a pas voulu de nous…Ce sera pour l’année prochaine ! Ce qui est marrant dans ce secteur c’est qu’on se trouve juste au dessus d’un petit village de cabanes faites en bois et en pailles. Souvent tu peux apercevoir un habitant du village assis avec son petit pot d’eau en train de faire son besoin, te regardant tranquillement en train de grimper. Avec les singes tout autour de toi quand tu assures. C’est assez dépaysant !

Cap sur le troisième secteur « Temple ». Superbe falaise de 30m où Jean Luc, Pchitt et Alex ont ouvert des voies. Voies démentes où tu grimpes de strates en strates.

Après quelques jours bien « class » passés à Badami, let’s go to Hampi !

Une des choses que je découvre aussi, c’est qu’avec les Indiens, il faut s’attendre à tout ! Petite anecdote : Pour aller à Hampi de Badami, nous décidons de réserver un taxi plutôt que de prendre un bus pour gagner du temps et avoir plus de confort. Jean Luc répète plusieurs fois (en « india ») au chauffeur qu’on veut se rendre Island Hampi et pas à Hampi. Pour aller à l’ile où il y a le spot de bloc, il faut où bien prendre un bateau à Hampi (ce qui n’était pas possible puisqu’on arrivait tard le soir) ou arriver par un autre coté et ne pas passer à Hospet (ce qui est le cas pour Hampi). Plusieurs fois pendant le trajet nous le leur réexpliquons en anglais. La route étant longue, nous essayons de dormir un peu dans la voiture. Ca y est, on y est, mais pas à la bonne destination malheureusement…Nous sommes à Hampi et il n’y a plus de bateau à cette heure pour passer de l’autre coté ! Du coup nous devons faire un grand détour en voiture…Encore 1h30 de plus. Pour finir, on a mis le même temps que le bus!

Bref nous voilà arrivé à la « guest house » : « the Goan corner ». Là plus de bungalows. La gérante pensait qu’on ne viendrait pas vu notre retard. Du coup, sympathique nuit sous les moustiquaires sur le toit. Le lendemain, réveil avec une vue sur l’immense chaos de blocs. Des milliers de blocs à perte de vue ! Plus impressionnant que sur les photos…Ici à Hampi, l’ambiance est plus pareille du tout ! On n’est plus en Inde mais dans un endroit international pour les grimpeurs du monde entier.

Tous les matins, nous nous levons tôt pour pouvoir profiter des moments les plus frais. La journée, en plein soleil, il fait vraiment chaud ! Le rocher est très très « charp », tu fais un 1er essai et ça suffit pour niquer toute ta peau pour la journée ! Ensuite, il faut que tu laisses reposer ta peau pendant 1h…J’exagère mais ce n’est pas loin de la réalité. Mais à part ça, c’est un cadre vraiment magnifique ! Les blocs sont en général vraiment class, beaucoup de réglettes, quelques plats, pas mal d’arêtes aussi !

On a encore vu comme presque chaque jour, le vendeur de cake qui connaît Hampi comme sa poche. Chaque jour, on est dans un endroit différent, et il est là avec son panier…Comme si , le 1er jour où on lui a acheté un cake, il nous avait mis un détecteur pour nous retrouver ! Un jour on avait même loué des mobylettes pour aller faire un tour au lac à 4-5 kilomètres de la « Guest house » et il était là ! Sans blague ! .

On profite des moments des plus chauds de la journée pour revenir déjeuner, jouer aux échecs, discuter avec les grimpeurs de différentes nationalités, faire de la slake line ou encore glander dans les hamacs. En tout cas, entre la grimpe, le shopping, manger une glace, boire un lassi ou un milkshake à Hampi, le temps passe vraiment vite ici ! Un jour, alors que nous étions tranquillement à table, on entend du bruit et de l’animation plus loin dans la rue. On s’approche, et apparemment il y a un serpent caché sous des pierres à coté d’une baraque. Le chasseur de serpent était là avec son bâton et réalisait toute une « tactique » pour le fatiguer et l’assommer. Après plusieurs minutes, le serpent sort enfin de sa cachette, il le tabasse à coup de bâton, c’est un cobra ! Quelle expérience !..

La fin approche, nous prenons un bus de nuit pour aller à Bombay et passer la dernière journée à Belapour en compagnie des grimpeurs locaux de Bombay. On est 4 à repartir le même jour : Sam, Alex, Pchitt et moi. Sam en profite pour aller une dernière fois chez le barbier. Je l’accompagne, n’ayant jamais vu à quoi ça ressemblait. Il lui coupe un peu les tifs ensuite, la barbe avec en prime massage du visage et de la tête avec crème huile et tout le tralala! C’était nickel, il était comme flambant neuf… Prêt pour prendre l’avion et retrouver sa famille. On en profite aussi pour faire quelques derniers achats, un dernier resto avec tous les grimpeurs locaux et ça y est c’est l’heure de partir. Hop on monte tous dans un taxi ! Je m’endors crevée dans la voiture et tout d’un coup, je me réveille, on s’arrête sur le bord de la route. Ca y est on est déjà arrivé à l’aéroport ? Et bien non, nous avons un pneu crevé. Heureusement, on s’est arrêté au bon endroit ! Il se fait qu’on se trouve juste au niveau d’une petite cabane avec des pneus partout : un vendeur et réparateur de pneu. La chance !

Avec le peu de matériel qu’il avait, le jeune indien enlève le pneu, le répare et le remet en un rien de temps, impressionnant ! On arrive à peine à l’aéroport et c’est déjà le temps des adieux car quelques locaux nous avaient accompagnés. C’est triste, je me plaisais bien moi là-bas ! Pas grave à l’année prochaine sûrement !! Aatteeennddeeezzz moiiii…

Chloé

Une réponse sur “J’ai craqué pour l’indian style”

  1. Salut Chloé,

    J’ai lu et ai apprécié l’article.

    Tu as beaucoup de chance de pouvoir réaliser tes rêves…
    Tu as entièrement raison, tu as tracé un joli parcours et je suis content de savoir que ça se passe bien pour toi.

    Stephan

Les commentaires sont fermés.